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samedi 5 novembre 2022

Quels diagnostics du cancer de la prostate ?

 


Suite aux symptômes décrits sur mon article précédent.

Votre médecin va appliquer le protocole suivant :

Diagnostique :

Le dosage du PSA ; La biopsie ; Le scanner (tomodensitométrie) ; La résonance magnétique (IRM) ;

 La scintigraphie : L’injection d'un médicament émettant des rayonnements permet de détecter des métastases osseuses.

 L'échographie : Elle va visualiser le fonctionnement des reins.

Avec le dosage du PSA (antigène prostatique), le toucher rectal est l'examen de référence en cas de suspicion de cancer prostatique. Le médecin introduit un index dans l'anus afin de palper la prostate et vérifier son volume (augmentation ?), sa consistance (durcissement ?) et sa régularité. Cet examen est recommandé à partir de 50 ans.

Certaines personnes pourraient faire une infection et des douleurs à la suite d’une  biopsie (enlèvement d’échantillons de la prostate).

*Remarque : les analyses du PSA n’est pas toujours fiable.

Ce que vous ignorer sur le PSA ?

Les risques du test du PSA :

NB : Le résultat est habituellement considéré comme normal si le taux de  PSA est inférieur à 4 ng/ml.

Le test du PSA présente les risques  suivant :

-Un résultat faux positif au test du PSA laisse croire que l’homme pourrait avoir le cancer de la prostate alors qu’il n’est pas atteint de cette maladie en réalité. Il arrive assez souvent que le test du PSA engendre un faux positif et seulement 1 résultat anormal sur 4 environ est réellement un cancer.

 Un faux positif peut mener à des examens de suivi non nécessaires qui sont plus effractifs, comme des biopsies à répétition. Il peut aussi entraîner une anxiété et une détresse inutiles chez l’homme et sa famille.

- un résultat est faux négatif, cela signifie que le test indique un taux du PSA qui est normal même si le cancer de la prostate est présent. Le test de dépistage par PSA fait passer à côté d'environ 15 % des cancers de la prostate. Obtenir un résultat faux négatif peut signifier que l'homme et son médecin ignorent les symptômes du cancer de la prostate.

-Le surdiagnostic : c’est lorsqu’on diagnostique un cancer de la prostate qui n'aurait jamais gravement menacé la santé d'un homme. Le surdiagnostic peut entraîner l’administration de traitements qui ne sont pas absolument nécessaires (sur-traitement). La recherche montre que de 23 à 42 % des cas de cancer de la prostate détectés par le test du PSA pourraient n'avoir jamais besoin d'être traités.

Mais la plupart des hommes qui reçoivent un diagnostic d’un cancer de la prostate choisissent tout de même de recevoir un traitement. Des examens de suivi et un traitement non nécessaires augmentent le risque des hommes d’être atteints de troubles tels qu’un dysfonctionnement érectile et une perte du contrôle de la vessie (incontinence urinaire).

Et sans parler des dépenses(les coûts) de ses analyses et consultations chez le privé, si vous n’êtes pas Assurer (ne sont pas rembourser) !

-Un taux du PSA plus élevé que la normale ne signifie pas toujours qu'un homme est atteint du cancer de la prostate. Un taux élevé du PSA peut aussi être causé par :

  • une augmentation de la taille de la prostate due à une hyperplasie bénigne de la prostate;
  • une inflammation ou une infection de la prostate, appelée prostatite;
  • une infection urinaire;
  • une intervention ou un examen médical récemment pratiqué sur la prostate, comme une échographie trans-rectale (ETR) ou une biopsie;
  • une sonde urinaire;
  • un examen de la vessie;
  • une activité sexuelle qui comprend une éjaculation;
  • des promenades fréquentes en vélo ou une longue promenade récente en vélo
  • un climat plus chaud.


Parfois, le taux du PSA augmente temporairement quelques années après une radiothérapie administrée pour traiter un cancer de la prostate. On parle alors de rebond du PSA. Dans la plupart des cas, le taux du PSA redescend au prochain test. Un traitement n’est pas nécessaire, à moins que le taux du PSA continue d’augmenter.

NB : Les principaux tests sont effectués par un urologue pour établir un diagnostic.

*le cancer de la prostate…quels traitements ?...à suivre.

Amicalement à vous !

Mustapha.L

mardi 6 novembre 2018

Comment réduit le taux du PSA naturellement d’un cancer de la prostate…


Les conséquences après un traitement de cancer de la prostate se solde par des effets secondaires dont j’ai déjà parlé sur mon dernier article sur le cancer de la prostate. Les traitements consistent, la prostatectomie totale ou partiel, la radiothérapie, curiethérapie, hormonothérapie, la chimiothérapie et enfin l’immunothérapie dont je préfère. Le plus danger dans l’après traitement de la prostate est la récidiviste (le retour de la maladie à nouveau).

La progression ou la récidive du cancer est définie par une élévation de PSA supérieur à 0,1ng/ml à deux (ou trois) dosages successifs. La récidive est définie par une valeur de PSA supérieure à 0,2 μg/L et confirmée sur deux dosages successifs.

Le PSA = antigène spécifique de la prostate.

L’EAU et l’AFU recommandent une limite à 0,2ng/ml. En effet, le risque de progression du taux de PSA en cas de PSA supérieur à 0,2ng/ml en postopératoire est de 86 % à un an et de 100 % à trois ans.

Aux États-Unis, le Prostate Specific Antigen Working Group propose une limite à 0,4ng/ml. Ces recommandations américaines sont fondées sur une étude au cours de laquelle 50 % des patients présentant un PSA entre 0,2 et 0,3ng/ml ne présentaient pas d’élévation ultérieure du PSA alors que dans la tranche de PSA supérieur à 0,4ng/ml, 79 % des patients présentaient une progression clinique. 

La récidive biologique survient le plus souvent au cours des deux premières années et son taux diminue régulièrement jusqu’à cinq ans. Le taux de récidive après la cinquième année est très faible. 

La majorité des études retrouve 25 à 35 % de récidive biologique à dix ans, après prostatectomie totale, tous stades confondus, mais avec des taux inférieurs à 18 % en cas de PSA initial inférieur à 10ng/ml. . Le risque de progression du taux de PSA en cas de PSA supérieur à 0,2ng/ml en postopératoire est de 86 % à un an et de 100 % à trois ans . En cas de récidive biologique, l’évolution se fait inexorablement vers la progression avec une histoire naturelle évoluant en deux phases : une première phase asymptomatique de huit ans en moyenne jusqu’à l’apparition des métastases, puis une seconde de cinq ans avant le décès.

Note : Si le PSA reste indétectable, pendant sept à dix ans en postopératoire, il n’y a plus de risque de récidive et la guérison est affirmée.

Après radiothérapie, le taux du nadir du PSA peut atteindre une valeur inférieure à 1 ng/ml.
Les recommandations 2006 de l’EAU retiennent la valeur inférieure à 1ng/ml comme nadir. Si ce taux reste stable, c’est une situation de guérison. Le nadir du PSA peut s’observer après un délai d’un à deux ans.

Un taux de PSA augmentant lors des dosages successifs définit la récidive du cancer. 
La majorité des réascensions du PSA se produisent entre la deuxième et la troisième année après l’irradiation.

Le nadir est la valeur la plus basse d'une mesure au cours du temps.

En effet, une récidive métastatique est toujours associée à une élévation première du PSA.
Après traitement hormonal intermittent, les valeurs seuils du PSA conduisant à une réintroduction sont de 10 ou 20ng/ml chez les patients métastatiques et inférieures à 10ng/ml chez les patients en récidive biologique après traitement à visée curative.
Des études ont montré une corrélation entre la décroissance des taux de PSA supérieur ou égal à 50 % et l’augmentation de la survie. 

Comment traiter cette récidive de la prostate ?

- La réduction de la testostérone permet de freiner l’activité des cellules prostatiques saines et cancéreuses avec des plantes naturelles qui entre dans le traitement hormonothérapie.
-il ‘y a également un plante de la famille des crucifères qui pourra réduire le taux du PSA en cas de cancer de la prostate.
- en dernier, des plantes qui faut prendre pour traiter les symptômes après la radiothérapie...

Afin de bénéficier de ces traitements, je vous invite de venir en prendre un rendez-vous.

Amicalement à vous !
Mustapha

Svp, découvrez mes livres pour aller plus loin :

·        « posologies des plantes médicinales d’Algérie » (première partie)
·        « posologies des plantes médicinales d’Algérie » (deuxième partie)
·        Les plantes médicinales du Sahara
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Note : pour tout  achat d’un de mes livres ou l’ensemble des mes livres, svp, veuillez me contacter via mon email : tipasa334@gmail.com



Mustapha Laouedj

Conseiller en phytothérapie et herboriste

Tél : 213. (0)550.30.65.42

Adresse : Hadjout-Tipaza- Algérie
A côé de la Daïra de Hadjout.