samedi 20 août 2022

« La mort en nous »

 

« La mort en nous »

Chers amis,

En 2017, les docteurs Justin et Erica Sonnenburg de l’université de Stanford (USA2) ont réussi à démontrer une intuition évidente : le mode de vie occidental appauvrit le microbiote

Leurs travaux ont confirmé qu’en l’espace de plusieurs générations, des centaines d’espèces de bactéries auraient disparu de nos intestins3.

Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques n’ont pas eu à construire une machine à remonter le temps.

Ils ont analysé le microbiote des dernières tribus qui vivent encore sur notre planète.

Ces indigènes ont échappé au processus d'industrialisation que nous, Occidentaux, avons vécu au cours du 20e siècle.

Les conclusions de leur analyse sont glaçantes4.

La machine à remonter le temps

Cette étude regroupe 18 populations ayant des modes de vie très différents.

Cela va des Amérindiens isolés du Venezuela (en haut) aux populations modernes du Canada ou d’Irlande (en bas).

 


 

Résultat graphique des recherches des docteurs Justin et Erica Sonnenburg sur le microbiote de diverses populations

La richesse du microbiote est indiquée par la largeur des barres colorées. 

Plus celle-ci est large, plus le microbiote de la population est diversifié.

À l’inverse, plus la barre est étroite, moins le microbiote est diversifié.

Les scientifiques en tirent donc plusieurs conclusions.

 

👉 Conclusion n°1 : les populations traditionnelles (à barres larges) ont un microbiote beaucoup plus diversifié que le nôtre.

👉 Conclusion n°2 : il existe dans notre mode de vie moderne un facteur qui décime des centaines d’espèces de bactéries utiles à notre santé.

 

Une autre étude s’est penchée sur la question et a analysé les espèces bactériennes présentes dans les intestins des Amérindiens Guahibo du Venezuela. Cette étude en a identifié 1 800 chez les Amérindiens contre seulement 1 200 chez les Américains. 

Soit 600 espèces de moins !5

Et vous, si votre cœur, vos poumons ou votre foie perdaient des quantités substantielles de cellules, ne seriez-vous pas inquiet ?

Un serial-killer dans nos intestins

Aujourd’hui, le tube digestif des Occidentaux ressemble à ce désert stérile.
 

 


 

Alors que les peuples autochtones possèdent une forêt tropicale luxuriante.

 


 

Doucement, mais sûrement, « nous perdons des membres précieux de notre communauté bactérienne » , déclare Justin Sonnenburg6.

Parmi ces communautés de bactéries perdues, certaines jouent des rôles essentiels pour notre métabolisme.

  • Telle bactérie pourrait nous aider à métaboliser l’amidon...7
  • Telle autre pourrait nous aider à combattre des troubles liés au métabolisme comme le diabète de type 2…8
  • Certaines bactéries communiquent avec notre système immunitaire…9
  • D’autres facilitent la digestion des aliments…10 11
  • Tandis que d’autres encore activent la production de vitamines12, d'hormones ou d’acides aminés…13

Heureusement, les époux Sonnenburg et leur équipe ont clairement identifié ce qui, dans notre mode de vie occidental, a tué nos précieuses bactéries14.

D’ores et déjà, oubliez les faux coupables comme les antibiotiques, les allaitements moins fréquents ou même les naissances par césarienne aujourd’hui plus fréquentes qu’autrefois…

Dans mon prochain message, je vous dévoile la fabuleuse découverte des époux Sonnenburg.

Portez vous bien.

À demain,

Laurent des éditions Nouvelle Page

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Scandale : les Probiotiques jugés dangereux

Chers amis,

L’un des premiers réflexes pour chouchouter nos intestins passe par les probiotiques.

Ces bonnes bactéries que l’on avale pour restaurer notre microbiote, c'est-à-dire l'ensemble des bactéries (bonnes et mauvaises) qui peuplent votre intestin.

Eh bien figurez-vous que prendre des probiotiques, « c’est potentiellement dangereux ».

Pour vous faire une idée, c’est un peu comme jouer à la roulette russe avec les milliards de bactéries de votre intestin.

En 2018, les chercheurs enregistrent des effets inverses aux résultats attendus !?

Après un traitement antibiotique, votre médecin de famille vous conseillera peut-être de prendre des compléments alimentaires probiotiques.

L’objectif de votre médecin est de restaurer votre microbiote intestinal partiellement endommagé par les médicaments.

Pourtant en 2018, une équipe découvre l'impensable.

Après la prise d’antibiotiques : « Les probiotiques empêchent de manière puissante et persistante le microbiote de revenir à sa situation d'origine », explique Elinav, Immunologiste de l'Institut Weizmann des Sciences en Israël1,2.   

« Cet effet indésirable n'a pas été décrit à ce jour. » insiste Elinav.

OUI, OUI, vous avez bien lu.

Les compléments alimentaires probiotiques peuvent retarder la restauration du microbiote d’origine… Parfois jusqu’à six mois !

Ce qui peut ensuite vous causer des maux de ventre, une alternance entre la diarrhée et la constipation…

Ou même une perte d’appétit due au châtiment digestif qui suit votre repas.

Et la science a même démontré qu’une perte de diversité du microbiote peut favoriser l’apparition :

  • De diabète de type 2, de cholestérol, d’hypertension, d’obésité, d’anxiété, de dépression, de fatigue chronique, de fibromyalgie3,4.  
  • ou encore de maladies immunitaires comme : la sclérose en plaques, le diabète de type 1 et l'asthme, la thyroïdite de Hashimoto, le lupus, les maladies inflammatoires de la peau (eczéma, psoriasis, couperose, dermatite et acné)5

Qui vous en parle ? … Personne

Aujourd’hui les probiotiques sont partout : des compléments alimentaires à nos pots de yaourts.

Il faut dire que c’est un marché qui va dépasser les 65 milliards en 20276

C’est pourquoi...

PERSONNE n'est pressé de tuer la vache à lait 

Dites-vous que le microbiote contient 1 200 espèces de bactéries.

La plupart des compléments alimentaires probiotiques sur le marché ne contient qu’une à 15 souches de bactéries….

15 souches de bactéries, c’est une goutte dans un océan !

D’autant plus qu’on ignore si ces bactéries correspondent à votre déséquilibre.

Avaler un peu d’une bactérie et un peu d’une autre…

Cela reste un jeu d'apprentis sorciers...

C’est pourquoi dans bien des cas, les probiotiques sont rarement à la hauteur de leur réputation, voire franchement décevants...

Alors quoi ? 

Si les probiotiques ne sont pas le remède miracle longtemps fantasmé…

… quelles solutions nous restent-ils pour lutter contre les troubles digestifs ?

Demain, je vous révèle la découverte extraordinaire faite en 2016 par la prestigieuse université de Stanford aux USA.

Je vous préviens d’avance, je ne vous parlerai pas de jeûne, de régimes FODMAP ou de ferments lactiques !

Ce que je vais vous révéler, je pense être l’un des premiers rédacteurs de santé naturelle à vous en informer en France !

Surveillez bien votre messagerie,

Laurent des éditions Nouvelle Page

mercredi 17 août 2022

Le plus gros mensonge sur le cholestérol

 Chère lectrice, cher lecteur,

Si vous évitez les graisses de peur d’augmenter votre cholestérol… ou pensez que le cholestérol est votre pire ennemi, lisez-vite le message ci-dessous !

Car on vous a mal informé !

Ce n’est pas de votre faute.

Depuis des décennies, le cholestérol est présenté comme le pire poison.

Découvrez sans attendre les recherches d'Eric Müller sur les mythes et préjugés du cholestérol.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

Que faire si votre cholestérol s’oxyde ?

Chère lectrice, 
Cher lecteur,

Le cholestérol n’est pas l’ennemi 

C’est sain d’avoir du cholestérol [1]

Il faut surveiller vos taux de “mauvais” cholestérol

N’empêche !

C’est toujours très effrayant et très difficile de faire la distinction entre le vrai du faux : nous ne sommes pas tous bien informés… !

Vous ne pouvez pas faire l’autruche face au cholestérol…

Alors comment profiter de la vie et continuer de se faire plaisir autour de bons repas tout en gardant une bonne santé cardiovasculaire ?

La question est légitime.

PERSONNE ne peut vivre dans le contrôle et la frustration éternellement !

La bonne nouvelle, c’est qu’il y a un gros malentendu sur le rôle du cholestérol et votre santé cardiovasculaire.

Peu importe que vous fassiez un régime.

Toutefois, le cholestérol n’est pas SANS DANGER. Il serait donc absurde de ne pas s’en soucier. 

Quel que soit votre âge, il existe des solutions pour comprendre quoi faire avec le cholestérol.

Mais avant de vous dire ce que vous pouvez ENTREPRENDRE DÈS AUJOURD’HUI, n’oubliez jamais… que contrairement aux idées reçues :

le cholestérol n’est ni bon, ni mauvais : il est UTILE
 

Le cholestérol est une substance SAINE sous certaine condition


Le cholestérol est d’une importance capitale pour l’organisme.

Il est indispensable [2] :

  • Pour produire des hormones vitales (stress, sexuelles, ainsi que la vitamine D).
  • Pour digérer les graisses.
  • Pour votre cerveau, notamment la mémoire.


Ce qui explique pourquoi les personnes qui manquent de cholestérol peuvent ressentir : 

  • des problèmes de mémoire [3]
  • une mauvaise gestion de la glycémie, 
  • des sauts d’humeur et des pensées négatives [4].
​​​​​​Mais ce n’est pas tout.

Le cholestérol sert aussi à constituer la membrane de vos cellules. Grâce à lui, cette membrane reste souple et perméable aux substances indispensables à la communication entre vos cellules.

Alors retenez ceci : pour votre plus grand bien, vous avez BESOIN du cholestérol

Mais attention : vous devez quand même vous en soucier, mais pas n’importe comment.

Ça ne sert à rien de connaître votre taux de cholestérol

Cela paraît fou, mais si vous cherchez à combattre à tout prix votre cholestérol pour prendre soin de votre coeur… VOUS AVEZ APPAREMMENT TOUT FAUX [5].

D'après une étude d’intervention nutritionnelle le cholestérol NE SERAIT PAS un paramètre prédictif de l’état de votre santé cardiovasculaire [6].

Les chercheurs tirent cette conclusion après avoir comparé l’impact du régime méditerranéen avec les recommandations alimentaires de l’American Heart Association [7].

D’après leurs résultats, quelque soit le régime alimentaire, les participants avaient un taux de cholestérol semblable. 

Néanmoins, ils ont constaté que ceux qui suivaient un régime méditerranéen avaient une meilleure santé cardiovasculaire.

Les scientifiques soulignent ainsi qu’un mode de vie sain NE S’ACCOMPAGNE PAS systématiquement de faibles taux de cholestérol.

Toutefois, et c’est là toute la complexité du cholestérol : des taux élevés de cholestérol peuvent impacter votre santé cardiovasculaire, MAISet le « mais » a beaucoup d’importance il ne peut être incriminé seul

Pourquoi devez-vous vous soucier de toute urgence de CE cholestérol ?

Un taux élevé de cholestérol "normal" peut constituer un signal fort pour votre organisme… MAIS ce n'est pas le plus grand des risques !

Il existe un ennemi encore plus menaçant qui peut transformer le cholestérol en véritable BOMBE pour vos artères.

Lequel ? Le stress oxydatif et les radicaux libres qu'il génère. (C’est très simple à comprendre).

Imaginez que votre cholestérol est un colis acheminé par un facteur qui dépose les acides gras qu’il contient à différents endroits de votre organisme.

Pour atteindre les organes et les cellules qui en ont besoin, il emprunte tout le réseau sanguin. 

Il passe donc son temps à sillonner vos artères.

Lorsqu’il a trop de paquets à acheminer, il en perd en cours de route. Ce cholestérol en excès va alors rencontrer d’autres molécules : les radicaux libres.

C’est là où il devient nocif.

Car les radicaux libres sont redoutables pour vos cellules : ils altèrent TOUTES les molécules qui se trouvent sur leur passage [8].

Lorsqu’ils rencontrent du cholestérol en excès, ils s’empressent de l’attaquer.

C’est ainsi que le cholestérol sain s’oxyde et qu’il devient NUISIBLE. Il va rouiller dans vos artères exactement comme du fer !

Le cholestérol oxydé peut alors endommager les membranes de vos cellules et se coller sur les parois de vos vaisseaux sanguins.

Petit à petit, ce cholestérol pourrait altérer vos artères
Avec le temps, cela influe directement sur votre santé cardiovasculaire [9]

Et d’après une étude, après 50 ans, une personne sur deux est concernée par ces déchets dans les artères [10].

Jusqu’au jour où l’une de vos artères pourrait se boucher…

Surveiller votre taux de cholestérol est donc un très bon réflexe santé.

Mais c’est loin d’être suffisant.

Il faut surtout protéger votre cholestérol et vos artères de l’oxydation. (je vous explique plus bas comment faire).

Et rappelez-vous que le cholestérol ne peut être considéré seul

Pour maintenir votre système cardiovasculaire en bonne santé.

Il faut prendre en compte un autre facteur essentiel : votre tension artérielle.

 

La pression artérielle est-elle votre premier ennemi ?

La pression artérielle joue un rôle majeur dans la santé cardiovasculaire.

Tout se joue au niveau de votre sang.

Lorsque vos artères se bouchent, votre pression artérielle augmente.
 
Cela entraîne une réaction en chaîne. Un peu comme une chaudière qui monte en pression à cause de l’un de ses conduits obstrué.
 
La pression monte et va endommager vos vaisseaux sanguins.
 
Des dépôts de graisses peuvent boucher l’une de vos artères.

Le maintien d'une pression sanguine normale est donc essentiel pour une bonne santé cardiovasculaire.

Contrôler sa pression sanguine est donc considéré comme un geste qui peut "sauver des vies" !
 

Comment entretenir vos artères grâce à...UN SEUL arbre ?

Depuis la mythologie grecque, il est reconnu pour ses vertus.

Calme, patient, il pousse lentement, mais sûrement.
    
Mais là où il impressionne le plus, c’est dans sa capacité à résister.

Il est capable de survivre à des conditions météorologiques extrêmes. 

C’est l’inverse de l’homme : en vieillissant il devient plus résistant.

L’avez-vous reconnu ?

Il s’agit de l’OLIVIER !

Notamment ses feuilles possèdent des puissants actifs boucliers qu’elles déploient lorsqu’elles sont soumises à des stress intenses. 

Plus elles sont en danger, plus elles en produisent !

Ces puissants actifs sont les polyphénols.

Ce sont eux qui leur permettent de résister coûte que coûte.

Ses feuilles sont concentrées en :
  • Hydroxytyrosol, ce qui leurs permettent d’avoir une grande activité antioxydante (plus puissante que la vitamine E) [11].
  • Acide oléanique, un autre polyphénol, qui va leur donner la capacité de contrer certaines attaques extérieures [12]
Mais le plus grand TRÉSOR des feuilles d’olivier, c'est l'oleuropéine.

Grâce à cet actif, elles sont un puissant agent immunitaire qui possède une activité antioxydante 400 fois plus forte que la vitamine C [13] !

Ainsi, grâce à ses incroyables propriétés antioxydantes, les feuilles d’olivier vont jouer un rôle de bouclier anti-oxydation.

Une manière de vous protéger contre le cholestérol oxydé. Ce qui participe au bon entretien de l’intérieur vos artères.

Mais ce n’est pas la seule raison pour laquelle les feuilles de l’olivier vont favoriser une bonne pression artérielle.
 
JE PRENDS SOIN DE MES ARTÈRES

Pourquoi l’olivier est-il connu pour aider la pression sanguine ?

Les feuilles de l’olivier vont aussi agir au niveau de votre pression vasculaire.

Plusieurs études se sont intéressées aux bienfaits des feuilles de l’olivier.

L’une d’elle a été menée sur des personnes en bonne santé présentant une tension légèrement élevée. Les scientifiques ont supplémenté les volontaires quotidiennement en hydroxytyrosol et oleuropéine [14-15]
 
Six semaines plus tard, ils ont pu constater :
  • Des taux de pression sanguine redevenus à la normale [16]. Les organes reçoivent en permanence le sang dont ils ont besoin.
Une autre étude espagnole arrive aux mêmes résultats. Elle a été menée sur des participants ayant uniquement une pression artérielle un peu élevée. Ils ont été supplémentés avec 200 mg d’extrait de feuilles d’olivier par jour durant 8 semaines.
 
Les résultats obtenus sont plus qu’encourageants puisque les chercheurs ont une nouvelle fois observé [17]
  • Des taux de pression sanguine revenus à la normale [18]. Le flux reste stable et les vaisseaux sanguins robustes.
Mais aussi : une régulation du taux de sucre dans le sang [19]. Cela signifie moins de risques de dépôts qui peuvent s’accumuler dans les artères.
 
Les rapports scientifiques indiquent que les personnes ayant été supplémentées avec des feuilles d’olivier avaient une bonne santé cardiovasculaire. Mais aussi qu’ils présentaient moins de facteurs de risques cardiaques.
 
D’autres études viennent appuyer ces conclusions en montrant que les feuilles de l’olivier soutiennent la pression artérielle en détendant les vaisseaux sanguins [20-21].
 
L’olivier est donc traditionnellement reconnu pour soutenir la circulation sanguine et la pression vasculaire.

L’olivier : la jauge de sécurité de votre système cardiovasculaire

Une autre étude s’est intéressée à son mode d’action au sein de notre organisme.
 
C’est là que les scientifiques se sont aperçus que les feuilles de l’olivier vont diminuer la pression chez ceux qui en ont besoin pour la maintenir à un seuil normal et ne rien modifier chez ceux où tout va bien.
 
Ses actifs protecteurs s’adaptent à votre organisme [22].
 
Les feuilles de l’olivier sont comparables à une jauge de sécurité qui va essayer d’éviter que la chaudière n’explose.

Si la pression monte trop haut, elle va ralentir le flux pour éviter l’explosion.
 
Elles aident à bien faire circuler le sang
 
Mais ce n’est pas tout : ses actifs agissent sur un autre facteur à risque : la glycémie.

Comment réguler votre glycémie et éviter de tripler vos risques cardiovasculaires ?

Depuis plus de 20 ans, les scientifiques alertent sur les maladies chroniques comme le diabète de type 2 car elles triplent vos risques cardiovasculaires [23].

Parmi les facteurs à risques à surveiller, ils évoquent souvent des problèmes de glycémie.

Car un excès de sucre dans le sang peut induire plusieurs conséquences sur votre santé [24] :
  • Il peut se déposer le long de vos artères - votre système cardiovasculaire peut en pâtir.
  • Il peut se transformer en graisses et remplir vos réserves de graisses - votre poids sur la balance pourrait en être impacté !
  • Il peut entraîner un dérèglement au niveau de la sensibilité à l’insuline produite par votre pancréas. Ce qui peut favoriser le prédiabète
C’est pourquoi une bonne gestion du sucre dans le sang peut être vitale !

Une étude publiée dans l'American Journal of Plant Sciences suggère que l'extrait de feuilles d'olivier aiderait à équilibrer la glycémie [25].

Elles aideraient le corps à mieux ajuster le sucre dans le sang.

Une autre étude affirme qu’un extrait de feuilles d’olivier aide à rééquilibrer la glycémie en influant notamment sur l'utilisation et la sécrétion d'insuline [26].

Les feuilles de l'olivier agiraient en :
  • Améliorant l’utilisation de l’insuline de 18% [27].
  • Favorisant de 28% la sécrétion d’insuline [28].
 
Le corps arriverait à mieux gérer sa production d’insuline pour contrer les pics de glycémie.

Mais, il y a encore une autre raison pour laquelle les feuilles de l'olivier sont précieuses pour votre santé…

Renforcez votre immunité comme les guerriers espagnols

Outre les bienfaits sur votre système cardiovasculaire, les actifs protecteurs des feuilles de l’olivier agissent aussi sur votre immunité.

Un autre pilier de votre santé pour mieux être armé face aux attaques extérieures.

Du temps de Napoléon, pendant la guerre d’Espagne, les soldats français s’étonnaient de la résistance des guerriers espagnols [29].

Une mission d’infiltration a révélé qu’ils utilisaient une solution ancestrale à base de feuilles d’olivier broyées avec de l’huile.

Depuis, plusieurs études confirment leurs actions favorables sur le système immunitaire [30].

Des chercheurs italiens ont testé la capacité antioxydante des actifs de l’olivier.
 
Ils se sont aperçus que ces puissants polyphénols permettent aux feuilles de l’olivier d’augmenter la résistance de l’organisme [31] .
 
Vos défenses immunitaires sont mieux préparées aux attaques extérieures.

5 raisons de miser sur les feuilles de l’olivier

Pour résumer, grâce à ses puissants antioxydants, les feuilles de l'olivier vous vont : 
  1. Prendre soin de votre système cardiovasculaire.
  2. Aider votre circulation sanguine.
  3. Soutenir votre pression sanguine.
  4. Renforcer votre système immunitaire.
  5. Contribuer à rééquilibrer vos taux de sucre dans le sang.
Ces trésors, SEULES les feuilles de l’olivier sont capables de TOUS vous les fournir.

 amicalement à vous!

Mustapha.L

dimanche 14 août 2022

santé et bien-être.: Business du cancer

santé et bien-être.: Business du cancer:   Chaque année,   385 000 nouveaux cas de cancer   sont diagnostiqués. En 2015, 149 500 personnes sont décédées du cancer décelé les ann...

Business du cancer

 


Chaque année, 385 000 nouveaux cas de cancer sont diagnostiqués. En 2015, 149 500 personnes sont décédées du cancer décelé les années précédentes en France.

On nous explique que le taux de décès parmi les malades du cancer diminue. Mais le nombre de cancers diagnostiqués augmente, si bien que le nombre de décès en valeur absolue progresse ! 

C’est le scandale du siècle. 

Selon une étude de l’Inserm, de l’Institut de veille sanitaire et de l’Institut national du cancer, publiée en 2013 et très peu médiatisée (on comprend pourquoi) : 

« Le nombre de nouveaux cas de cancer a augmenté de 109 % entre 1980 (170 000 cas estimés) et 2012 (355 000 cas estimés). Le nombre de décès a, quant à lui, augmenté de 15 % au cours de la même période (129 000 et 148 000 respectivement) . » 

On dispose de chiffres similaires pour la population américaine.

Le cancer étant plus fréquent à mesure que l’on vieillit, il est normal qu’il y ait plus de cancers dans une population plus nombreuse et vivant plus vieille.

Mais, en 2016 et actuellement, on observe des cas de cancer chez des personnes de plus en plus jeunes : des femmes de moins de quarante ans sans qu’elles soient porteuses d’un des deux gènes reconnus responsables du cancer du sein, BRCA 1 ou 2. Mais aussi des cas de cancer de la prostate chez de plus en plus d’hommes de moins de 60 ans. Et plus le cancer atteint une personne jeune, plus le pronostic est mauvais. 

La déception du dépistage

 Les campagnes de dépistage (sein, prostate, thyroïde, côlon) n’ont pas suffi à enrayer la tendance. 

Par contre, elles ont un coût énorme et aboutissent à
 révéler de nombreux cancers qui seraient passés inaperçus autrefois, ce qui explique au moins en partie la hausse du taux de cancers dans la population. 

Le dépistage révèle des cancers qui n’auraient jamais évolué ou qui auraient régressé spontanément. Il révèle aussi de nombreux cancers qui n’auraient jamais posé de problème au patient parce que, âgé ou très âgé, il serait décédé d’une autre cause avant que son cancer ne se soit assez développé pour lui causer une gêne. C’est ce qu’on appelle le « sur-diagnostic ». 

De plus, les campagnes de dépistage entraînent de nombreux « faux positifs », c’est-à-dire qu’on croit voir un cancer alors qu’il n’y a rien. C’est un problème beaucoup plus fréquent en médecine que les patients ne le pensent. Les analyses et examens donnent des indications, rarement des certitudes. C’est pourquoi, la plupart du temps, quand vous recevez des résultats d’examens, on vous annonce qu’il faut faire… d’autres examens. 

C’est le cas, en particulier, du cancer, où le premier diagnostic doit toujours être confirmé par des biopsies (prélèvements de cellules) ou même des opérations chirurgicales, car le seul moyen d’être sûr de la nature d’une tumeur est de l’opérer, de la retirer et de l’analyser. 

Les campagnes de dépistage entraînent donc de très nombreux examens, interventions, parfois même traitements, inutiles, avec leur lot d’effets indésirables et, surtout, un stress, une angoisse immense pour tous les patients qui se croient cancéreux et dont la vie est alors bouleversée. 

C’est la raison pour laquelle des experts estiment que, globalement, l’intérêt du dépistage est surestimé. 

En France, une association de médecins milite même pour informer les femmes des risques du dépistage du cancer du sein, sur un site Internet baptisé « Cancer rose », par opposition à « Octobre rose », la campagne d’incitation annuelle au dépistage [5]. 

À noter enfin que le dépistage, lorsqu’il concerne une tumeur sur un organe non vital (sein, prostate, utérus, ovaire, testicule, thyroïde) ou sur un organe que l’on a en double (poumons, reins, etc.), conduit à une ablation qui, de fait, rend impossible la récidive in situ : vous ne pouvez plus avoir de cancer de l’utérus si vous n’avez plus d’utérus, ce qui explique le chiffre de 95 % de guérison annoncé dans le cadre de cette maladie. 

Enfin, même le cancer dépisté assez précocement dans l’histoire de la maladie et retiré ne garantit aucunement l’absence de récidive du cancer à un autre endroit sous forme de métastases ou de cancer dit « secondaire ». Tout dépend des causes, qui trop souvent ne sont pas envisagées, expliquées au patient. Sans le savoir, il a des chances de persister dans des comportements à risques : persistance de mauvaises habitudes alimentaires, poursuite d’intoxications ou de traitements hormonaux de substitution, tous réducteurs des défenses immunitaires… Ces cas sont beaucoup plus fréquents chez les personnes opérées de ces cancers que chez les autres. 

Mais cette « épidémie » de cancers – qui fait bien les affaires de Big Pharma –, qui cherche à en expliquer les causes ? Qui nous dit d’où elle vient et, par conséquent, ce qu’il faudrait faire pour l’éviter ? 

Personne, ou très peu de monde. Tout se passe comme si cette évolution était une fatalité. 

Non seulement ce problème est considéré comme un « non-sujet » médical, mais les personnes qui se hasardent à proposer des pistes, à rechercher des solutions, sont vues d’un mauvais œil. 

Il n’y a pas de moyen plus rapide pour se faire étiqueter « escroc » ou « charlatan » que d’aborder la problématique du cancer et d’explorer les voies alternatives. Chaque tentative faite par des médecins pour sortir de la trinité « Chimiothérapie-Radiothérapie-Chirurgie » se solde par des critiques, des attaques, des procès. C’était le cas dans les années 1980. Ça l’est toujours en 2017 !
 


La « guerre contre le cancer » : beaucoup de bruit pour pas grand-chose

 Comprenez bien que le cancer est un « Big Business ». Chaque gouvernement occidental considère comme une obligation d’entretenir son « Institut national du cancer » (National Cancer Institute) doté de financements énormes reconduits chaque année. 

En France, l’Institut national du cancer a un budget de 87 millions d’euros, constitué à 91 % de financements publics. De même, énormes sont les budgets d’institutions d’utilité publique comme la Ligue contre le cancer et les associations proches, comme l’ARC. Elles sont surtout spécialisées et conseillées par des experts en publicité pour émouvoir et susciter la générosité publique, avec pour leitmotiv : « Grâce à vous demain on va guérir le cancer ! » 

Certes, des évolutions ont eu lieu dans le traitement du cancer. Mais ce ne sont pas les progrès que le public imagine confusément, à savoir la guérison et la prévention. 

Des progrès : on a découvert en 1982 que le cancer de l’estomac avait souvent une origine bactérienne (Helicobacter pylori), ouvrant la voie à un simple traitement par antibiotiques. La prévention de ce cancer a pu ainsi être améliorée et la mortalité fortement réduite du fait de la baisse du nombre de cas déclarés. Même chose quand on a compris le caractère viral du cancer du col de l’utérus, que l’on peut dépister plus tôt – par les frottis –, et de 70 % des cancers ORL, eux aussi liés à des infections virales sexuellement transmissibles. 


Cancer Business

 

 Malgré les subventions massives des États consacrées à la recherche sur le cancer, les traitements facturés par les laboratoires pharmaceutiques sont, eux, de plus en plus chers. Ils nourrissent leur mise en Bourse et sont payés par l’assurance maladie, qui provient de nos impôts. 

Bien que les coûts varient beaucoup d’un patient à l’autre, le traitement moyen d’un cancer tourne autour de 50 000 €, et les nouveaux traitements comme le Glivec, un médicament contre la leucémie (cancer du sang), sont facturés de 30 000 à 40 000 € par an en France (contre quelques dizaines d’euros en Inde), au point que cent dix cancérologues se sont unis l’année dernière pour dénoncer les prix « absolument fous » des laboratoires . 

Malheureusement, cette inflation des prix n’implique pas de progrès aussi rapides pour les malades. Dans la plupart des chimiothérapies contre les tumeurs solides,
 la durée de survie du patient n’est prolongée que de quelques semaines ou mois, on ne parle en aucun cas de guérison, mais de palliation. 

C’est le même phénomène que l’on observe avec les nouveaux traitements prétendument miracles contre le cancer que sont les anticorps monoclonaux, les immunothérapies et les médicaments anti-angiogenèse (qui empêchent les vaisseaux sanguins de se développer et donc de « nourrir » les tumeurs cancéreuses). Ce qui est « miraculeux », c’est surtout le prix que les laboratoires arrivent à facturer pour ces traitements dont l’efficacité est limitée dans de rares cas ou inexistante.
 


Qui ose parler de prévention et de guérison du cancer ?

 

 Vous l’aurez noté : en matière de cancer, le maître mot est « traitement », et on ne prononce jamais le mot de « guérison », encore rarement celui de « prévention ». 

Ce que l’on vous promet, donc, c’est de vous « traiter » : vous faire des rayons, des opérations, vous donner des médicaments lourds, difficiles à supporter et qui guérissent rarement quand le diagnostic est fait trop tard, vous opérer.
 

C’est à cela que les immenses budgets de la lutte contre le cancer sont consacrés. 

Ps : C’est un résumé d’une lettre que j’ai reçu de Mr. Jean-Marc Dupuis. 

Amicalement à vous !

Mustapha.L